Montée par Yannick Rivière de chez Hookuna
Matériaux de montage dans la vidéo :
Cerques courts, Plume de CDC, Corps en lièvre, Tag en Yarn
Note de l'auteur : Mouche incontournable et indispensable.
Montée par Yannick Rivière de chez Hookuna
Matériaux de montage dans la vidéo :
Cerques courts, Plume de CDC, Corps en lièvre, Tag en Yarn
Note de l'auteur : Mouche incontournable et indispensable.
Cet article permet de créer le fichier audio du tutoriel de soumission des articles de montages de mouches.
Titre:
TUTORIEL de SOUMISSION d’un article de MONTAGE de MOUCHE.
Introduction:
Pourquoi une soumission d’article ?
Il est apparu intéressant que les membres du Club puissent soumettre leurs réalisations de montages de mouches et les faire figurer sur notre site.
Vous pouvez utiliser cette procédure pour le faire et elles figureront dans la rubrique « Réalisations de montages ».
Ainsi elles viendront enrichir le contenu de notre site et faire connaître votre savoir.Noter que ce principe peut être appliqué à n’importe quelle soumission d’article…
Etapes:
Les 5 étapes de la procédure.
Un : Préparer le contenu préalablement à la soumission de l’article (textes, images, liens, etc…).
C’est l’étape essentielle et préalable à toute soumission pour garantir la qualité de votre article.
Deux : Se connecter à son compte du site Internet du Club.
Trois : Accéder au formulaire de soumission de l’article.
Quatre : Remplir étape par étape les explications du montage.
Cinq : Après vérification soumettre l’article.
Etape 1
Etape 1 : Préparer le contenu.
Cette étape est fondamentale et conditionnera toute la suite du processus.
Il s’agit de préparer tout le contenu de votre article pour chaque étape du déroulement du montage (12 possibles) :
Voir les champs du formulaire de soumission dont certains sont obligatoires.
Etape 1 Suite
Etape 1 : Préparer le contenu (Suite).
Il est nécessaire de prévoir toutes les données qui seront saisies :
Commentaires :
Etape 2 : Connexion à son compte
Etape 2 : Connexion à son compte.
Cette diapositive est un exemple de la page de connexion au site Internet du club de mouche Balmanais.
Saisir son identifiant et son mot de passe, puis cliquer sur » S’IDENTIFIER » pour se connecter.
Dans l’hypothèse d’un oubli de son mot de passe vous pouvez cliquer sur « Mot de passe oublié » pour définir un nouveau mot de passe.
Commentaires:
Pour pouvoir soumettre un article de montage de mouche, ou tout autre article dans le futur, il est nécessaire de se connecter au site Internet du Club mouche Balmanais.
Pour accéder à la page de connexion il suffit d’ajouter à l’URL de la page d’accueil le mot » connexion » .
Noter que :
ETAPE 3 : ACCES AU FORMULAIRE
Etape 3 : Accès au formulaire.
Le formulaire permet la saisie des données.
Cette diapositive montre la première page du formulaire de soumission de l’article de montage de mouche.
Pour accéder à la page du formulaire il suffit de cliquer sur ce lien
ou d’ajouter « /soumission-de-montages-de-mouches-enrichi » à l’URL de la page d’accueil du site.
Commentaires:
Les champs obligatoires comportent un astérisque rouge.
ETAPE 4 : Le formulaire de soumission
Etape 4 : Le formulaire de soumission.
Cette diapositive montre l’exemple pré-rempli du début de la saisie.
Saisir le titre de la mouche, l’auteur et l’image de la mouche à l’état final.
Pour inclure la photo de la mouche cliquer sur la zone de saisie intitulée « Image qui sera publiée sur l’article ». L’application proposera les bibliothèques présentes sur votre ordinateur et vous demandera dans quel répertoire de votre ordinateur se trouve l’image. Il suffira de la sélectionner pour l’importer. On peut ajouter un titre, une légende et une description à l’image (c‘est facultatif).
Commentaires:
Vous pouvez utiliser toutes les techniques de saisie connues pour remplir les champs:
Saisie manuelle au clavier, copier/coller, glisser/déposer (drag and drop), saisie de liens hypertexte, etc…
Ces techniques seront utilisées et valables pour l’ensemble des données présentes au formulaire et pour chaque étape de montage.
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
Cette diapositive fait appel à la saisie obligatoire de la description du montage.
La saisie est libre. On essaiera de donner un maximum d’informations pour décrire la mouche et aider à la compréhension du montage.
Commentaires :
Grâce à des liens, c’est le cas dans cet exemple, on pourra également faire référence à des montages existants souvent très connus et servant de référence.
Les conseils de montage seront très importants.
On pourra par exemple mettre en garde les monteurs sur certaines difficultés ou bien donner des astuces pour faciliter le montage.
N’hésitez pas à les mentionner.
Bien que facultatif cela est un plus par rapport à d’autres exemples de montages étape par étape qu’on peut trouver sur d’autres sites Internet.
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
Dans cette partie de la saisie on peut inclure des conseils d’utilisation de la mouche.
Bien que facultative cette rubrique apporte une valeur ajoutée par rapport à d’autres exemples de montages étape par étape qu’on peut trouver sur d’autres sites Internet.
Par exemple on dira: mouche indispensable en début de saison ou encore mouche passe partout, ou bien à utiliser lorsque rien ne marche, etc…
C’est souvent ce qui fait la différence pour le lecteur qui recherche des conseils et non pas uniquement de la technique de montage qu’il possède généralement par ailleurs.
Concernant l’historique il est intéressant de pouvoir rappeler les origines de la mouche, son évolution dans le temps, ce qui a motivé sa création, ses variantes, etc…
Par exemple si on monte une Pheasant Tail on ne manquera pas de citer son auteur Frank Sawyer et sa technique de pêche sur ses rivières anglaises. Mais également la variante moderne introduite par les pêcheurs américains avec une bille orange (le fameux hot spot) en tête de la mouche.
Ne pas oublier de faire référence à des articles en utilisant des liens.
Dans ce formulaire on trouvera deux autres champs obligatoires à saisir à partir d’une liste de choix.
C’est le cas pour la rubrique « Où l’utiliser ?» et «Type de mouche ».
Il vous suffira de cliquer sur « Sélectionner » pour voir apparaître la liste des choix et faire votre sélection parmi les choix proposés.
Dans ce montage on sélectionnera « Rivière et lac » et « Nymphe ».
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
Pour compléter les données de montage on saisira les matériaux nécessaires.
Cette rubrique très importante est obligatoire.
Dans certain cas certains matériaux sont indispensables et ne peuvent pas être substitués par d’autres. On le mentionnera. A l’inverse d’autres ne sont pas indispensables et peuvent être remplacés par d’autre matériaux suivant les goûts du monteur. C’est le cas par exemple de l’emploi du CDC à la place de hackle de coq ou de poule dans certains montages. On l’indiquera également.
Cette rubrique est suivie par deux rubriques facultatives de liens de montages :
En effet on peut par exemple présenter une variante d’un modèle classique et très connu tel que la Pheasant Tail de Frank Sawyer. On indiquera alors par un lien la source originelle.
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
Sur cette diapositive on découvre la première étape de montage.
Toutes les autres diapositives qui lui succèderont auront la même structure.
Deux rubriques expliquent ce qui est fait lors de cette étape :
Commentaires:
L’étape une est obligatoire et l’article de montage pourrait s’arrêter là.
Cependant il est rare que cela soit le cas car il ne s’agirait plus d’une présentation étape par étape.
On conviendra donc qu’il existera minimum deux étapes de montage successives.
Ce processus se poursuivra étape par étape jusqu’à ce que l’on atteigne l’étape finale de la mouche lorsqu’elle est censée être terminée.
Noter que le formulaire permet de saisir maximum 12 étapes de montage. Si on dépasse cette limite on devra condenser les explications de montage en limitant les étapes qui à priori ne devraient pas poser de problème aux monteurs.
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
On poursuit la description du montage chronologiquement en suivant les mêmes règles de saisie que celles de l’étape une :
Et ainsi de suite jusqu’à l’ultime étape de finition du montage.
Etape 4 : Le formulaire de soumission (suite).
On est arrivé à la dernière étape, la mouche est terminée.
On notera que l’image de la mouche doit être est la même que celle qui figure sur l’article dans la rubrique « Image de la mouche terminée » .
Nous en avons terminé avec la phase de préparation du contenu et la saisie des données.
Etape 5 : Soumission.
Après vérification de la saisie des données on soumettra le formulaire en cliquant sur le bouton « SOUMETTRE VOTRE ARTICLE » qui se trouve au bas de page. Pour l’atteindre il sera souvent nécessaire de scroller à l’écran.
Etape 5 : Soumission (suite).
A l’issue de la soumission vous recevez un accusé de réception.
Dans le cas présent il y a eu une erreur, la soumission n’a pas fonctionné.
Le message d’erreur « Veuillez corriger les erreurs pour continuer » vous indique que vous avez oublié de saisir certains champs obligatoires.
Les champs en erreur sont mentionnés à chaque emplacement de la zone de saisie incriminée.
Pour les visualiser on scrollera tous les champs de saisie depuis le haut du formulaire.
Voir un exemple sur la diapositive suivante.
Etape 5 : Soumission (suite).
On peut connaître les champs erronés en scrollant tout le formulaire.
Chaque champ en erreur ou absent est mentionné explicitement.
Lorsque tout est correct et validé l’article est automatiquement soumis et en attente de validation.
L’administrateur du site est automatiquement informé et reçoit un mail de confirmation de la soumission d’un nouvel article.
Il peut faire une vérification, se mettre en relation avec l’auteur pour valider définitivement l’article ou demander à l’auteur d’apporter des modifications.
Enfin lorsque l’article est définitivement validé il le classera dans une catégorie de documents et à partir de ce moment là il deviendra accessible aux visiteurs.
Cet article a pour objectif de déclencher la lecture et l’audio de paragraphes sous » Say It » et de l’incorporer automatiquement dans une vidéo sous Polymny.
Step 1:
Un mot sur l’auteur de cet article, Nick Thomas.
C’est un Écossais établi au sud du Pays de Galle qui pêche essentiellement sa rivière locale peuplée de truites et d’ombres.
Il monte de très belles mouches à base d’organza et a publié un très beau livre à ce sujet.
Cet article de Nick Thomas sur le Duo Dynamique nous montre comment faire un montage de bas de ligne coulissant dont la longueur est modifiable entre la Nymphe et la mouche sèche.
C’est à dire que le montage permettra de modifier la longueur du bas de ligne et donc la profondeur à laquelle vous souhaitez que la nymphe pêche.
Je vous laisse prendre connaissance de cette première diapositive.
Step 2:
Mais que faire si vous voulez un montage réglable ?
Un montage que l’on peut changer rapidement sans avoir à couper et renouer pour s’adapter aux différentes profondeurs d’eau ?
Une approche consiste à utiliser une mouche sèche sur un dropper coulissant.
Je vous laisse prendre connaissance de cette deuxième diapositive.
Step 3:
Il existe plusieurs méthodes.
La méthode la plus simple est de faire un noeud de grinner sur
une longueur de fil autour du bas de ligne et d’attacher la mouche
sèche à l’extrémité du noeud pointant vers le bas.
D’autres méthodes plus complexes ont été décrites, par exemple
l’utilisation d’un dropper attaché à un anneau de tippet coincé
entre des noeuds coulissants ou des arrêts de flotteur.
Je n’ai jamais essayé ces méthodes ; elles me semblent trop
compliquées, et c’est un casse-tête de devoir les refaire sur
la berge si vous perdez le montage sur un rocher ou un arbre.
Il existe également des méthodes utilisant une mouche sèche coulissante. Une approche consiste à utiliser deux bouts de tuyau en silicone enfilés sur le bas de ligne, puis poussés sur l’œil et autour de la courbure de la mouche afin de pouvoir la faire glisser de haut en bas pour ajuster la profondeur à laquelle la nymphe nage. Encore une fois, tout ceci est un peu complexe pour une âme simple comme moi et a ses inconvénients. La mouche sèche doit être assez grande pour pouvoir se coincer dans le tube et doit être attachée avec de la place pour glisser sur le silicone. De plus, la mouche est attachée à la fois à l’avant et à l’arrière, ce qui n’est pas une bonne orientation pour ferrer si un poisson prend. Comme la méthode du dropper à anneau coulissant, tout cela semble un peu trop sophistiqué et susceptible de mal tourner. Il y a une autre approche qui utilise une mouche sèche attachée avec une longueur de tippet traversant le corps le long duquel il peut glisser. La mouche est ensuite attachée en ligne entre le leader et le tippet de la nymphe, formant un indicateur de glisse. Encore une fois, un peu trop complexe pour moi, ennuyeux quand vous perdez une mouche qui a pris du temps supplémentaire à monter, et pas accessible aux gens qui ne montent pas leur propre mouche.
Step 5:
Sur cette photo vous pouvez voir comment est exécuté le montage pour attacher la nymphe.
Ce montage vous permet de pêcher en eau peu profonde et jusqu’à une profondeur correspondante à la longueur maximale du fil de montage de la nymphe.
Step 6:
Avec un raccordement de cinq pieds soit environ 1 mètre cinquante de la nymphe, celle-ci peut être ajustée pour pêcher n’importe où entre un et cinq pieds soit environ 30 centimètres et un mètre cinquante sous la surface, ce qui est suffisant pour pêcher à peu près partout où vous pêcheriez en duo.
Je ne recommanderais pas ce montage avec des mouches sèches
montées sur des hameçons à œil vers le haut, mais les hameçons à œil droit ou à œil vers le bas sont parfaits.
J’utilise des mouches sèches montées sur des hameçons jig.
Step 7: Comment monter un Duo Dynamique ?
Lorsque vous montez un duo dynamique avec un hameçon classique, où l’œil est dans le même plan que le reste de l’hameçon, le fil de la nymphe est enfilé à travers l’œil de la mouche sèche d’un côté et ensuite attaché autour du bas de ligne.
Step 8: Quels avantages d’avoir un montage Duo ?
La seule différence entre ce montage fixe et un montage duo utilisant un hameçon jig est la double longueur de fil au-dessus de la mouche jusqu’au nœud coulissant.
Cela peut dissuader un poisson difficile de prendre la mouche sèche.
Cependant, gardez à l’esprit que le but premier de la mouche sèche dans un montage duo est de suspendre la nymphe à la bonne profondeur et d’agir comme un indicateur.
Pour moi, le petit risque de décourager un poisson avec le double tippet est plus que compensé par les poissons supplémentaires que j’attrape en ayant ma nymphe à la bonne profondeur.
Il vaut mieux simplement faire glisser un nœud vers le haut ou vers le bas et présenter la nymphe correctement.
Step 9: Souvent la pêche en Duo Dynamique est la seule solution.
Si vous pêchez un plan d’eau mixte comme la section de la rivière ci-dessus, (voir la photo), la pêche au Duo dynamique est la meilleure solution.
Dans ce tronçon de deux cents mètres de rivière, les poissons peuvent se trouver n’importe où, et ils se tiennent à différentes profondeurs.
Step 10: Avoir un montage qui permet de faire varier la présentation de la nymphe est un plus.
Pour pêcher efficacement, il faut utiliser un montage qui peut être modifié rapidement et facilement pour s’adapter aux conditions changeantes.
Bien que la principale raison d’utiliser le duo dynamique soit de s’adapter à différentes profondeurs d’eau lorsque vous remontez ou descendez la rivière, il est également utile d’explorer
différentes profondeurs dans le même tronçon d’eau pour voir où les poissons se tiennent.
En pêchant de cette façon, vous explorez toute l’eau en trois dimensions et maximisez vos chances de trouver le poisson (voir la photo).
Step 11: Lire les différentes explications et les conseils de l’auteur pour avoir le maximum d’efficacité en pêche en Duo Dynamique.
Notez que le poids de la nymphe est la clé du succès. Vous pouvez toujours faire remonter une nymphe lourde, vous ne pouvez pas faire descendre une nymphe légère.
Step 12: La technique de pêche de l’auteur est la suivante :
Pêcher le duo dynamique sur une ligne relativement courte,
généralement pas plus de deux ou trois longueurs de canne à partir de la pointe, en lançant vers l’amont et en maintenant la plupart de la ligne hors de l’eau, laissant la paire de mouches
dériver avec le courant.
Step 13: Conclusion :
Finalement, le duo dynamique n’est pas seulement destiné aux rivières. Si vous pêchez la truite en eau calme, le même montage est idéal pour pêcher avec une nymphe ou un buzzer à différentes profondeurs.
Trouver le niveau auquel les poissons se nourrissent est souvent la clé d’une journée réussie sur un lac ou un réservoir.C’est beaucoup plus satisfaisant que de pêcher avec un indicateur.
Cet article de Bozeman Creative vient en complément de l'article Les 15 meilleurs modèles de mouches pour la carpe et apporte un éclairage sur le positionnement de la mouche en fonction du placement des yeux haltère sur ou sous la hampe de l'hameçon.
Test des yeux d'haltères - Cette vidéo teste l'emplacement des yeux d'haltères montés sur la hampe de l’hameçon. L'auteur teste l'attachement des yeux sous et au-dessus de la hampe de l'hameçon dans plusieurs conditions, dont un test dans l'eau. Cette vidéo pourrait aider les débutants à comprendre l'effet des yeux d'haltère sur une mouche en fonction de l'endroit où elle est attachée.
Voir la méthode pour placer les yeux d’haltères au-dessus ou au- dessous de la hampe de l’hameçon.
Un premier test en eau d’aquarium permet de vérifier qu’avec un positionnement des yeux d’haltères au-dessus de la hampe on obtient un positionnement aléatoire de la pointe de l’hameçon lors de la chute dans l’eau, à l’inverse le positionnement des yeux d’haltères au-dessous de la hampe permet d’obtenir un positionnement systématique de la pointe de l’hameçon vers le haut lors de la chute dans l’eau.
Un deuxième test reprenant les mêmes mouches a été effectué avec un bas de ligne de fil de nylon noué à l’hameçon, toujours dans une aquarium en eau calme.
Résultat, avec les yeux d’haltères au-dessus de la hampe permet d’obtenir un positionnement systématique de la pointe de l’hameçon vers le haut lors de la chute dans l’eau, à l’inverse le positionnement des yeux d’haltères au-dessous de la hampe ne permet pas d’obtenir un bon positionnement de la pointe de l’hameçon et de la mouche lors de la chute dans l’eau, la mouche se trouve couchée sur le flanc.
Hypothèses: dans le premier cas le fil de nylon occasionnerait un phénomène de dragage qui freinerait la chute de la mouche et favoriserait le positionnement des yeux d’haltères vers le bas et donc entrainerait automatiquement la pointe de l’hameçon vers le haut, alors que dans le deuxième cas il existerait une rotation autour de l’attache du fil qui annihilerait le positionnement automatique des yeux d’haltères.
Un troisième test a utilisé une pompe afin de simuler un environnement en eau courante. Le même montage des yeux d’haltère que dans les tests précédents est utilisé mais ici, afin de limiter les mouvements hératiques du montage, on utilisera différents montages de mouche dont une imitation de Chabot.
Résultat le montage des yeux d’haltères au-dessous de la hampe permet à la mouche d’obtenir un bon positionnement de la pointe de l’hameçon vers le haut même dans un courant modéré.
Ces tests sont importants pour le montage de certaines mouches dès l’instant où l’on veut que la pointe de l’hameçon soit tournée vers le haut comme dans les montages avec une bille fendue pour hameçon jig. Je pense en particulier à ces mouches pour la pêche de la carpe qui permet de pêcher dans des endroits encombrés ou dans des herbiers afin de limiter les cas d’accroche.
On notera les différences de positionnement de la mouche suivant qu’on pêche en eau calme (test N°2) ou en eau courante (test N°3).
Conclusion:
Selon le montage des yeux d'haltère, en-dessus ou en-dessous de la hampe de l’hameçon, on obtient un positionnement et un comportement différent de la mouche suivant qu’on pêche en eau calme (lac, réservoir, rivière calme) ou en eau courante (torrents et en général dans les rivières).
A la lumière de ces tests il apparait que le même modèle de mouche devra comporter les deux types de montage des yeux d'haltères suivant le plan d’eau pêché:
Et qu’en est-il de l’utilisation des billes de tungstène?
Peut-on étendre ces constatations aux modèles très nombreux de mouches utilisant les billes de tungstène fendues pour les hameçons jig ou les billes de tungstène inversées appelées Jig Off à trou décalé?
Votre expérience ou articles à ce sujet sont le bienvenus.
L’accès à la traductions de Les 15 meilleurs modèles de mouches pour la carpe est protégé par mot de passe.
Les traductions ne sont accessibles qu’aux visiteurs ayant fait un don à la recherche médicale pour la maladie de Charcot.
Un article de Jay Zimmerman sur les 15 meilleures mouches à carpe.
It is difficult to stereotype an intelligent species. Carp have a longer memory and a better ability to learn than most fish we fly anglers are accustomed to. I will never profess to know the best flies and best approach to fool the carp in your home waters, but these 15 will give you a solid head start. All carp act differently and it is up to you to do the legwork and homework it takes to learn your carp. As you explore your home water, always keep in mind what aquatic environment the carp are living in, the water temperature, the weather, what they are eating and how much human pressure they receive.
The Environment—Carp are very much products of their environment, just as we carp anglers become products of our carp's behavior. It has been fascinating to watch the carp craze spread across the country and see how different people, living in different places, have approached the game—both in angling and in fly tying. I have seen the carp culture expand, diversify and begin to evolve into very different styles, all based on the environment that the local carp are found.
Great Lakes carpers are those anglers who have focused their attention on the carp that inhabit the five massive "inland seas" on our eastern border with Canada. This style of carp fishing is the most like saltwater fly fishing in that it calls for reliable boats, poling platforms and heavy rods. The carp are big, migratory and very predatory. For the fly tier, this translates to larger, heavier flies such as Goby and crayfish patterns that sink fast and can get the attention of a large carp that is traveling a long ways. River carp anglers are those who have become as common a sight on their favorite river as a great blue heron. It could be the Columbia River on the northwest coast, a Missouri River tributary or the South Platte in downtown Denver, the flies and tactics become somewhat similar and transferable. River carp flies tend to be much smaller than the Great Lakes patterns, but do not scrimp on weight—they need to be able to fight currents and get down to where the fish are feeding. Small freshwater clams and different species of aquatic worms are very prevalent in the river carpers tying arsenal.
The high, arid plains around the Rocky Mountains where water rights have caused more fistfights than oil or women ever will are also home to carp. Almost every trickle of water that comes out of the mountains is dammed and captured before it can get too far. These reservoirs provide a unique environment for carp and carp anglers. The flies favored by these reservoir carp anglers usually lack great anatomical detail, and tend to be darker in color than clear-water carp flies, because the water is usually slightly muddy. Vague leech imitations and dark-colored crayfish patterns are preferred.
Another distinctly different type of carp fishery is often found in the eastern United States and those who partake have become adept at the camouflage and finesse needed to successfully hunt carp in the clear, weedy ponds and canals of their home states. These situations call for more damsel and dragonfly nymphs tied lighter, to land soft and have more detail.
Forage—The forage that most carp fly patterns are modeled after are crayfish, leeches and nymphal stages of some of the larger aquatic insects (usually damselflies or dragonflies). Some of these imitations can be quite detailed and realistic ties, while others are pure suggestions of something a carp deems edible. Be it super realistic or ultra impressionistic, the two most important characteristics of any carp fly is the same—it must act alive when wet and be of the proper weight for the water the fly is being used. Do not get too hung up on what the carp are actually feeding on, concentrate more on if the carp is feeding and how the carp is feeding. As a rule, a hungry carp has a better chance of eating your fly than one that is not feeding. This may sound like fishing advice from Yogi Berra, but the gist of the advice is sound. It is convenient to suggest that an angler should be sure to "know the forage" in order to have success, but that is much easier said than done. An angler usually has to make general assumptions and choose flies based on that alone.
Pressure—All fish react to human pressure, even the dumb ones. Pressure has the most adverse effects on carp, because they have long memories and a high IQ. This can manifest itself in a couple of different ways. If the body of potential carp water is super public, as in "community park public" with lots of foot traffic, dog walking, children screaming, sticks, balls and disk golf . . . then you can bet the carp have patterned the people and are only active in the early mornings, right at dusk and at night. These types of places usually attract many bait fishermen, who may have no interest in taking a "lowly" carp home to eat (they are there for the catfish?) but have no qualms with chucking a weighted string of hooks at a ten pound carp and trying to snag it if it makes the mistake of swimming too close to the motley collection of forked sticks and bait buckets. One bow fishermen in your neighborhood can also seriously put the spook in the local carp. Carp are still considered an invasive "trash" fish and there are those who make legal sport of this. Any of this interaction with humans makes carp very leery of any movement on the bank of the lake. Wariness in a carps behavior does not directly affect what they are willing to eat, but being conscious of the mood of the carp will dictate how you dress (does Realtree make fishing shirts?), how quickly you move and how long and careful your casts need to be. You may find other bodies of water that are out of easy reach of the masses, but still receive a fair amount of fly-fishing pressure. These areas will instill a selective fly wariness in some of the carp. You may make a perfect cast, the fish sees some movement in the mud and swoops in for the eat . . . but freaks out as soon as it sees and recognizes your fly. If you have this happen, change up material colors on your favorite fly, or switch patterns entirely.
The Flies
Swimming Nymph—Bob Clouser
Swimming Nymph—Bob Clouser is best known for his groundbreaking streamer pattern the Clouser Deep Minnow, a streamer created for smallmouth bass on the Susquehanna, his home river in Pennsylvania—the Clouser Swimming Nymph he tied later. A book was published in Boulder, Colorado in 1997 co-authored by Barry Reynolds called Carp on the Fly. This book became a sort of rough doctrine for the carp revolution and the fly that was the chosen child of the revolution was Bob Clouser's little swimming nymph. "When [we] speak of this fly, it is almost with religious fervor. This is THE fly, our #1 producer," Barry wrote.
Near 'Nuff Crayfish
Dave Whitlock has spent most of his fishing life in and around the Arkansas Ozarks and his writings have appeared regularly in many sporting publications.At one time Dave had over thirty of his signature fly patterns being tied commercially by Umpqua Feather Merchants— many of these have become household names. One of these flies is the Near 'Nuff Crayfish. This crayfish pattern was first introduced commercially in 1996 and has maintained the rank of "best" or "most realistic" of any crayfish patterns tied before or since.
Headstand
Lance Egan grew up fishing in and around Salt Lake City, Utah and cut his teeth on carp swimming in Pineview Reservoir, Willard Bay Reservoir and the Bear River. Although the Headstand carp fly was born in Utah it quickly spread across state lines, popping up in fly shops in almost everywhere. It is a very effective fly and is best fished to tailing carp that are relatively stationary, or to wary fish that are slinking around in shallow, clear water looking for food. The Headstand is tied on a curved hook, designed to rest on the bottom and be gently twitched by the angler; it is not a fly designed for cruising or faster-moving fish.
Carp Bug
The first gig at a fly shop I managed to land was in Longmont, Colorado. I was new to the state and curious how the anglers in the area went about chasing carp and how they rigged and what flies they used. Andrew Spinato, a shop customer and career fire fighter who had been chasing the local carp for some time, was tying the Carp Bug. The first day out with two of his flies I landed eight carp from six to twelve pounds.
Hammerhead
I have fallen in love with the look and style of Ian Anderson's Hammerhead, but its size and weight makes it an impractical fly for the carp waters I fish in Colorado. I set out to recreate the fly as a mid-depth, still water crayfish pattern that I could use. The fly had to have lots of movement, sink fast . . . but be lightweight. Because of these limitations, I had to scale the fly down in size and replace the rabbit strips with Crawdub dubbing. I also incorporated some of my favorite Krystal Flash and Sili legs in the back to make it more realistic.
Halfback
The Swimming Halfback is a fly created by Blair Lampe. He took one of his favorite nymphs, the Halfback, and tweaked it slightly to add a bit more movement and some tiny lead eyes to add weight enough to flip the hook and make the fly ride hook point up. Blair and his brother, Brian tested and developed the fly in their dad's ponds near Fort Morgan, Colorado until it was ready for public consumption.
Backstabber
Over the last decade the Backstabber has been my go-to carp fly and I have used it to land thousands of fish. I have found that an olive-colored Backstabber works best for the large, spooky carp in clear, well-foliaged waters and the black-colored one is ideal for muddy water (mainly because it is easier for me to see) and the wine-colored one works best in the early season when the water is still cold. The grey minnow Backstabber is my late-season go-to, when the water levels in my local reservoirs drop low enough to pull the carp out from the food-rich cattail beds and coves and they are forced to chase shad.
Bellycrawl
Rob Kolanda created the Bellycrawl—a shrimp-like oddity that incorporates a ribbed tungsten body weight to get the fly to sink fast in current and swim hook point up. Rob used the Bellycrawl in 2008 and 2009 to help win first place back-to-back at the South Platte Pro-Am Carp Slam in Denver, Colorado.
Carp Carrot
Jim Pankiewicz is from Seattle, Washington and regularly pursues the carp in the Pacific North West. Jim tied the first Carp Carrot after poking around in his mass of old flies and tying material and running across some cards of orange wool he used to use for the bodies of trout flies back in the 1970s. He combined that with dyed pheasant rump feather he already had handy from tying some of his other favorite trout flies.
Carp Bitter
The Carp Bitter is one of Barry Reynolds earlier signature carp fly patterns. The first Carp Bitters date back to 2007 and were introduced in his DVD The Flyrodder's Guide to Carp. Barry found that the rust and olive variations were the best day in and day out. He found that the rust and orange-colored Carp Bitter worked best for the muddy water carp in his local ponds in and around Denver, Colorado. The olive version, however, became an absolute killer on the South Platte River that flows through Denver.
Admiral Akbar
The Admiral Akbar carp fly (deliberate misspelling) was created in 2010 by Minnesota rough fisher, Jean-Paul Lipton for the common carp, buffalo, quillback and redhorse in the Ottertail River drainage. Jean-Paul discovered the orange colored bead chain at a Hobby Lobby near his home and they put the needed finishing touch to the fly patterns he had on his tying bench Like many fly tiers who live in rural areas, or generally outside the range of well-stocked fly shops, he has made a habit of plundering yarn shops and craft stores to find ingredients.
Hybrid
John Bartlett from Oregon created the Hybrid, a cross between a worm and soft hackled wet fly. The Hybrid is a carp fly designed to sink to the bottom as quickly as possible and wait there, looking subtle and inviting, until a carp moves into the vicinity and thinks it is too good to pass up. Every fly fisher in America knows about the steelhead runs that move up the Columbia River, they are the thing of legends. However, John "Montana" Bartlett, forever the cowboy, has his mind set hard on carp— carp on the fly.
Black Ops
Christopher Vargo from St. Louis, Missouri created the Black Ops carp fly for the off-color Missouri River tributaries near his home. I love simple, yet suggestive carp patterns and the Black Ops has quickly become one of my favorite patterns on the mud flats in my home state of Colorado.
Carp Breakfast
Kevin Morlock has built a solid reputation as one of the premier carp fly fishing guides on and around Lake Michigan's Beaver Island. Kevin's fly, the Carp Breakfast has quickly become one of his client's favorite flies, as well as a sure killer all around the Great Lakes region— where big, heavy patterns are necessary and effective.
Banjowood Seed
In the heat of late spring and early summer the cottonwood trees begin dropping fluffy white seed pods that are notorious for fouling outdoor swimming pools and hanging up on the knots in a fly fisher's leader. Once these seeds find their way into the water they become easy, fresh food for carp. The cottonwood "hatch" happens every year and can go on for well over a month. I have experimented with many different materials to make the perfect cottonwood seed fly and have found the long, white shed hair that comes of my dog Banjo are better than anything.
Cette technique de montage d'un abdomen peut être utilisée pour obtenir un dessous de corps plus clair que son dos, ce qui correspond généralement à la réalité des corps d'insectes dans la nature.
Elle peut être utilisée pour la confection de modèles imitatifs et réalistes (ce qui ne prouve pas une efficacité plus grande en action de pêche).
Différentes méthodes plus ou moins simples sont possibles mais cette méthode pratiquée par le monteur polonais Piotr Sołtysik est relativement facile et donne naturellement un aspect annelé au corps.
Matériaux:
Utiliser par exemple du fil DMC, du Spantex ou encore du fil synthétique de sac de pomme de terre comme matériau de montage de l’abdomen.
Voir pas à pas la technique de montage de l'abdomen.
Astuce : Ne pas oublier de retourner l’hameçon pour faciliter ce montage.
D’autres techniques apparentées peuvent également être appliquées sur les côtés du corps pour confectionner des branchies par exemple à partir de fibres de plumes d’autruche ou autres.
Voir du même auteur un exemple appliqué sur ce modèle de Micro nymphe, ou encore sur des modèles à base de corps en quill ou de fil élastique tel que ce modèle ou encore celui-ci ou celui-là.
Un article de Fabri-Mouches sur l'utilisation de matériaux pour le montage des mouches.
Cet article passe en revue pratiquement tous les matériaux qu'on peut utiliser pour le montage de mouches.
Montée par Piotr Sołtysik
Voir les matériaux au fur et à mesure des étapes de montage.
Cette mouche s'apparente à une PT en plus clair ou à un trichoptère.